Sur cette publication, un tout nouvel article qui va allonger notre revue de presse sur « l’automobile ».
Son titre suggestif (Le fils du désert – John Ford) est parlant.
Présenté sous la signature «d’anonymat
», le pigiste est positivement connu.
Vous pouvez prendre connaissance de ces informations en confiance.
Le post a été édité à une date indiquée 2023-01-05 16:05:00.
L’article mentionné :
Résumé : Trois bandits plutôt désinvoltes, Hightower (John Wayne), Pedro (Pedro Armendáriz) et le kid d’Abilene (Harry Carey Jr.) décident de braquer la banque de Welcome, un petite ville d’Arizona. À peine débarqués, ils tombent sur un homme très sympathique (Ward Bond) qui jardine et dont ils moquent le nom : Perley Sweet (Douce perle). Malheureusement pour eux, ils se rendent compte qu’il est le shérif quand celui-ci enfile sa veste ornée d’une étoile.
Critique : Ce western est le remake d’un des propres films de John Ford, un muet tourné en 1919 et considéré comme perdu : Les hommes marqués (Marked Men), et aussi celui d’une œuvre éponyme signée Richard Boleslawski datant de 1936, avec notamment Walter Brennan.
Le générique dédie le long métrage à un ami du cinéaste, le comédien Harry Carey, disparu en 1946. De plus, son fils Harry Carey Jr. interprète l’un des trois brigands.
Tourné entre deux opus de sa trilogie de la cavalerie, ce film ressemble à une parenthèse un peu plus légère et présentée comme un conte de Noël. Les trois comparses cherchent à rallier une ville nommée la Nouvelle Jérusalem, vont traverser un désert, et tels les Rois mages recueillir un nouveau-né, et trouver par la même une forme de rédemption…
Le récit prend son temps, laisse la place aux bavardages, et maintient souvent l’action hors champ.
Maintenant, on est dans un western, il y a une poursuite des brigands, une longue marche dans le désert qui ne fait pas de cadeau et une issue tout à fait morale.
L’image en Technicolor permet d’admirer de superbes plans de désert où nos trois fuyards avancent péniblement.
Malgré ses quelques qualités, à cause de son scénario inégal aux lourdes références, et de son manque d’action, le film reste une œuvre mineure, mais néanmoins honorable, dans la riche filmographie du grand cinéaste américain.
Copyright Metro Goldwyn Mayer
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